Dino Di Meo
Bluesman /
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Musicien amateur, il a tout de même roulé sa bosse en Angleterre, guitare en bandoulière. Devenu journaliste, principalement à Libération, il n’a jamais cessé de jouer. Sa discothèque fournie fait la part belle à la country américaine, à Jimmie Rodgers en particulier et, grâce à son métier, a pu vider des verres avec des artistes américains qu’il admire, dont Willy DeVille ou Tony Joe White. Il s’est lié d’amitié avec Arno, ce qui a justifié son intervention dans le Delta t n° 2. Ses autres centres d’intérêt sont le motocyclisme et la voile.
Ses articles dans Delta t
Je suis un « post war child » par Dino Di Meo
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Arno surligne les maux de l’Europe : retour des nationalismes, des conservatismes. De sa jeunesse, il se souvient qu’elle fut celle de la culture, de l’ouverture et d’une quête de liberté. Il s’interr …